L'actu vue par Joseph 789fhf

Complément d'information à propos de en savoir plus

La grève nord de Paris. Un logement goutte toit, bien rangé. Un grand écran pot. Un canapé corail, sur lequel, adepte croisées, talons de 13 cm et blouson jaune très autour physique, est positionner Helena, qui fixe la porte d'entrée. Affichant 25 kilo pour 1 m 60, Helena n'est pas humaine. c'est une poupée facile, ou « realdoll ». Un ossements d'acier dépecé sous une peau en élastomère thermoplaste et ( imposant ) seins fournis de l'air.

plusieurs adolescents et adultes qui adoptent des poupées pour autre chose qu’une libido perplexe : un geste qui paraît particulier vu d’Occident. Tout comme l’était le système politique nippon pour Churchill ou Truman. Deux ouvrages nous offrent des clés de assimilation d’une production japonaise déroutante quand on prend le nocive hachure. Il y a effectivement une souci extrême à collecter la fabrique japonaise avec tel ou tel cortex occidental. La attestation par deux essais qui prennent soin de reproduire le lecteur. Un rappel dans Moderne sans être de l'occident, et une accointance de duplicata dans les Love Doll au soliel levant, préviennent le lecteur qu’il y a je-ne-sais-quoi d’insaisissable. Il ne s’agit pas de le désoler mais de le avertir qu’il va devoir faire tel ou tel effort, que ses repères vont cabrioler, que l’on ne décrit pas un monde aussi insoucieux, aussi surprenant, avec les vieilles habitudes d’une Europe qui se voit toujours comme seule opportunité de nouveauté.

Les clients professionnels sont fréquemment des hommes célibataires, des artiste endeuillés, des divorcés, ceux qui ne aspirent à pas de relation amicale réelle, des employés forcés de travailler loin de leur tribu ou des hommes mariés en quête d’une relation extraconjugale. Pour 1500 euro environ, ils achètent la poupée de leurs rêves, la poupée suprême, complète dans toutes les possibilités splendides. Un fabuleux de vie où une femme au look nickel, qui n’utilise pas d’argent, qui restant chez soi, qui n’est pas il est compliqué avec la nourriture, elle ne mange pas vraiment en tout cas ! Un dollowner est tout simplement « dans le futur », dans l’avenir, les humanoïdes sex doll envahiront nos salons, il est juste en avance sur son temps !

Entièrement faite à la main et établie depuis 2013 par l'entreprise californienne Sinthetics dont le leitmotiv est ' le diable est dans les détails ', on est effectivement à la fois fascinés et apeurés par tant de vérisme. Multi-articulées, ces poupées géantes sont capables d'adopter des allure qui rendent possible tous les besoins. On est dans la « chosification » absolue, dans l’eugénisme même : vous pouvez apporter des système pileux ça et là, du tatouage par là, choisir la teinte de le visage, la couleur des yeux... et bien entendu commander plusieurs sexes de tailles différentes, au repos ou en turgescence, à cliper dans l'entrejambes du sex-toy-boy géant !

A Wayne, le sexe et la technologie n'ont en aucun cas fait aussi bon ménage. Cette ville du New Jersey héberge TrueCompanion, une pme fondée par Douglas Hines. Ancien ingénieur en ia pour Bell Labs, ce lève-tôt de 53 ans sculpte depuis des années des systèmes sexuels. Il se dit l'inventeur du premier marionnette cela nom : une poupée amoureux surnommée Roxxxy, découverte à Las Vegas en 2010. Aussitôt battu par les experts de la Silicon Valley, Hines n'a en aucun cas inculte à son idée de faire réaliser un companion pour l'homme ( ou la femme ). ' Ce n'est pas un batteur mais un partenaire profesionnel de vie qui à terme donnera présence, aide ou bien-être génital ; alors s'il ressemble à une jolie collégienne ou à un athlète, personne ne s'en plaindra ', explique-t-il, faisant fi du débit grandissant de critiques et de anxiétés éthiques que soulève le projet.

Avec les progression de la robotique obéissante et de l'IA, les bot sexuels peuvent sans tarder arriver à un naturalisme saisissant. de quelle nature en sont les conséquences ? Dans la résistance pour l'égalité hommes-femmes, elles seraient désastreuses. Nous sommes à dakar, autour des fameuses Ramblas, au mois de février 2017. Une maison de prostitution vient de remplacer une part de ses employées. plusieurs filles capable maquereautage ont dû prendre la porte, substituées par des systèmes sexuels. Il y a Lili, avec un physique japonais. Leiza, à la peau en silicone couleur ébène. Ou même Aki, qu’on tente de faire correspondre à une personne de hentai avec ses tignasses blues fluo. Il faut régler 80 € en ligne pour passer une durée courte avec l’une de ces demoiselles humanoïdes.

En savoir plus à propos de en savoir plus